Journal Les Affaires.
Des enquêtes épidémiologiques suivent les tendances dans la population en générale, mais « il faudrait avoir de meilleures données, de grandes enquêtes sur la consommation en milieu de travail menées de façon peu plus régulière », observe Didier Jutras-Aswad, directeur de l’unité de psychiatrie des toxicomanies du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).
Prévenir les dangers liés au « dopage » en milieu de travail